Lo Vaï Nog

De Oremen
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Lo vAï Nog n'est en fait qu'une des incarnations de Raveen

LVN a disparu suite à une charge de la population d'Harip'his, consécutive à la projection de la mise à mort des eezors par LoVaiNog

tirage caractéristiques

>force: 13 (6+5+2) >dextérité: 11 (4+1+6) >constitution: 14 (6+5+3) >intelligence: 17 (4+4+6) + 1 + 1 + 1 >sagesse: 5 (1+5+1)-2 grâce à une rencontre impromptue avec les blaesgarth >charisme: 12 (3+4+5)

>PV: 10+2=12 (0) PV actuels : 1.


possibilité d'avoir 3 loobises

Claustrophobe, grâce aux blaesgart .... Répulsion vis-à-vis des blaesgarts plus ou moins compensée par un contact prolongé avec eux

équipement :

anneau de l'attick Beelian sceptre impérial pagne lorda rouge sac à dos rubis corde épée fourreau+ceinture vêtements

description

Race: oremenien Classe: guerrier Sexe: masculin Nom:Lo-vaï-nog

Yeux : bruns


Résumé de sa (passionnante vie):

Né dans un quartier misérable le la cité, là où même le plus téméraire des chevaliers de la Miséricorde n'oserait s'aventurer seul sans soutien logistique, Lo-vaï-nog fut abandonné à sa naissance dans un caniveau, la où sa mère mourante accoucha avant de rendre son dernier soupir, emportée par l'ukal. On se demande d'ailleurs comment son rejeton a pu survivre à cette terrible maladie. Bref... D'après ce qu'on sait, un individu très peu recommandable (assassin à la solde de patrons encore plus sombres que lui) le ramassa (en prenant toutes les précautions nécessaires), dans un dessin sordide de le remettre à certaine personne (afin d'éliminer proprement ladite personne par l'ukal). Sauf que l'assassin tomba sur une patrouille et dut décamper en vitesse, en oubliant le bambin accroché dans son dos (qui se tenait étonnamment tranquille pour un nouveau-né).

À son arrivée dans son antre, elle (eh oui, en fait, l'assasin était une femme) s'aperçut de son fardeau, voulut s'en débarrasser. Mais un reste oublié d'instinct maternel surgit dans le coeur de pierre de cet être abject, et au lieu de l'exterminer, le nettoya et le nourrit. Elle pensait peut-être que de toute façon il disparaitrait dans quelques jours...

Sauf que le bambin (qui avait dû réussir tous ses JP maladie...) non seulement ne mourut point, mais commença à se développer. Et, allez savoir pourquoi, la sombre exterminatrice qui lui servait de mère continua à s'occuper de lui.

Dès qu'il fut en âge de parler, la noire Vaï-nog-tol (tel était son nom, du moins telle était-elle nommée par les quelques rares personnes qui connaissaient son visage...) se chargea d'apprendre à son protégé les valeurs morales de la vie à Schruss, et les moyens d'adhérer à ces valeurs (en résumé: "Sache, Lo-vai-nog, qu'ici tu dois penser avant tout à toi, ensuite à toi, et enfin à toi. Les autres sont vermine comme les rats, et il n'y a aucun scrupule à avoir pour les éliminer. Et pour cela tu dois les avoir sans qu'ils s'en aperçoivent, sinon ils risqueraient de te blesser, ou te tuer. Utilise l'ombre pour te cacher, frappe et retourne dans l'ombre. Mais surtout, ne te fais pas voir."

Pendant quelques années l'assassin tenta d'inculquer à sa graine de gibier de potence ces valeurs. Mais son "travail" faisait qu'elle devait souvent s'absenter. Bien sûr elle enfermait le gamin dans un placard. Mais Lo-vaï-Nog présentait des signes de claustrophobie et, un jour, à l'âge de 6 ans, s'énerva au point de réussir à fracasser la porte, et sortit dans la ruelle jouxtant le repaire de Vaï-nog-tol. Il commença à explorer ce monde nouveau, qu'il ne connaissait que par les paroles peu rassurantes de son "mentor" (de ce côté-là, elle n'avait pas exagére la description: ruelles sombres, nouveaux endroits sans lumière où tendre des embuscades...). Lo-vaï-nog (que par commodité on nommera LVN par fainéantise) prit peur. Mais retourner dans la cave noire où l'attendait le placard lui faisait encore plus peur, et il décida d'aller au devant des ennuis. Qui ne tardèrent pas, d'ailleurs. Il tomba sur un mendiant affamé, qui se trouvait être un cannibale. Le triste sire le voyant lui sauta dessus et dégainant une épée (à quel pauvre guerrier tombé dans une embuscade avait-elle appartenu ça l'histoire ne le dit pas), entreprit de lui trancher la gorge. Il eût certainement profité d'un bon repas si une dague opportunément enfoncée dans sa nuque n'avait pas mis subrepticement fin à tout besoin naturel qu'il eût pu ressentir. Dague appartenant à une jeune voleuse nommée Sal'lonn-val agée alors de 8 ans, cherchant à venger son jeune frère parti dans les entrailles du gastronome anthropophage (et ayant maintenant accompli sa vengeance). Sans but dans la vie désormais, son regard tomba sur le môme coincé sous le corps du mort, fut impressionnée par la vigueur avec laquelle il se dégagea de cette position vraiment peu commode pour se défendre, effrayée quand il saisit l'épée de ses deux mains et la brandit, et éclata de rire quand il se vianda lamentablement par terre en basculant en arrière sous l'effet du poids de l'arme. LVN se releva et la regarda, sans comprendre. Bé ça alors, elle n'en avait pas profité pour l'éliminer !?! En fait, LVN lui rappelait tellement son frère disparu qu'elle réussit à le convaincre de la suivre. Et de poursuivre son éducation. Ou plutôt de corriger ladite éducation. Car Sal'lonn-val était certes une voleuse, mais faisait partie d'une petite communauté d'individus qui prônaient des valeurs toutes différentes que celles de Vaï-nog-tol. En gros, LVN apprit le sens de l'honneur, l'amitié et le respect des amis (ce qui n'est pas mal vu le lavage de cerveau qu'il avait subi les premières années de sa vie). Par contre malgré tous les efforts de Sal'lonn-val il ne réussit jamais à éprouver quoi que ce soit en ôtant la vie d'un homme, ce qui lui arrivait souvent dans ces bas-fonds, où il faut sans cesse se battre pour survivre. Or se battre, c'est ce qu'il faisait le mieux. Il avait conservé l'épée du cannibale et avait décidé d'apprendre à s'en servir. Les premiers temps il dut utiliser des armes plus légères, car il n'est pas bon quand on combat de brandir une arme lourde et tomber en arrière sous l'effet de son poids. Mais il se forcait à porter et à manier le plus longtemps possible sa vraie épée, avant de dormir. Au fil des années il commençait à la manier relativement correctement (i.e. il réussissait à ne plus tomber en arrière en la brandissant).

Dans une communauté de voleurs telle que celle dont on parle, une règle fondamentale est d'apprendre aux jeunes à pratiquer cet art magnifique qu'est le vol, ainsi que les techniques utiles. Malheureusement, si LVN réussit à maitriser l'art de nouer des cordes et de lancer des grappins, il fut incapable d'escalader un mur (du moins, sans faire un bazar terrible et en un seul coup). Son destin n'était pas de devenir voleur. Pourtant il n'était point bête. Il fut plus spécialement désigné à protéger le repaire de la communauté des intrus, ce qui lui valait souvent des entailles, et donc des soins auprès de Sal'lonn-val; conscient qu'elle avait autre chose à faire il lui demanda de lui inculquer les gestes élémentaires à effectuer face à une blessure (bien qu'il aimât bien se trouver en sa présence, mais il savait que le temps qu'il lui prenait était du temps perdu pour gagner de la nourriture).

Ainsi allait la vie. Il grandissait, lentement mais sûrement. Et redoutait une chose plus que tout: tomber par mégarde sur Vaï-nog-tol, persuadé qu'elle allait éliminer tous les gens de la communauté, si jamais elle venait à savoir où il était. C'est pourquoi il était attentif à tout recoin où quelque chose bougeât ou fasse un bruit, ce qui du reste servait beaucoup car, à défaut de la femme ténébreuse qui jadis fut sa nourrice, des voleurs sans scrupules avaient envie de faire main basse sur les maigres biens que renfermait le refuge.

Un soir, alors qu'il allait sur ses 13 ans, il se retrouva seul avec Sal'lon-val, les autres étaient partis cambrioler une boutique. Sal'lon-val était restée car blessée à la cuisse par une flèche (pardon, une arkola) tirée par un marchand un peu vindicatif... Bref on se souvient que LVN savait soigner les blessures. Sauf que pour soigner celle-là il devait opérer près d'une zone qui lui provoqua certaines sensations... ma foi assez fort agréables... Et comme la demoiselle ressentit qu'il réagissait ... favorablement, et qu'elle n'était pas contre certaines formes de divertissement, elle décida de prodiguer elle aussi des soins.

Sauf que quand on est pris par ce genre d'activité, forcément, on fait un peu moins attention à se qui se passe autour de soi... Et des gens assez discrets en profitèrent pour se servir sans que nos deux innocents s'en aperçoivent...(fort heureusement ils n'en profitèrent point pour les éliminer, bien que ce fût facile...). Oui, mais... quand les Sal'lon-val et LVN eut fini leur affaire, ils s'aperçurent du désastre. Mais quand Sal'lon-val déclara qu'il fallait assumer sa faute et rester, LVN eut un relent de l'éducation Vaï-nog-tol, et pensa qu'il valait mieux être ailleurs, et décampa. Mais le lendemain, réfléchissant, il eut honte de sa lâcheté, et retourna au refuge.

Il fut reçu par une série de lames de dagues et moult insultes, et hésita un moment à décamper à nouveau. Mais il se dit que maintenant était fini le temps de la lâcheté, et fit front. Il admit avoir commis une faute, et demanda comment il pourrait la réparer. Mais Sal'lon-val lui dit qu'on ne peut compter sur quelqu'un qui est susceptible de fuir si la situation devient critique, et que même s'il avait en partie effacé sa faute en revenant, il ne pouvait rester avec eux. LVN s'en alla alors, la mort dans l'âme, comprenant qu'en fait elle lui en voulait à mort de l'avoir lâchement abandonnée.

Que lui restait-il à faire? Il lui fallait survivre. Il savait qu'il était assez doué au combat, et songea aux ordres de guerriers dont il avait entendu parler. En particulier des chevaliers de la Miséricorde. Mais il y avait un problème: un chevalier de la miséricorde épargne souvent son ennemi quand il le peut, alors que LVN, au combat, ne le quittait que l'ennemi tué ou bien LVN mis hors de combat. Il ne comprenait pas qu'on puisse épargner la vie d'un ennemi ("un bon ennemi est un ennemi mort"). Pour cette raison il ne pouvait espérer joindre cette glorieuse compagnie. ...

[NdJ: le but de la manip est de trouver un ordre qui aime tailler en pièces ses ennemis, tout en ayant un sens de l'honneur aigu et un sens de la justice; les bourrins de Ult correspondraient bien à la description, sauf que si je ne m'abuses, il n'y a pas de ultien dans Schruss...]

Fin de l'histoire pour le moment.


MJ : Incompréhensible. Voilà le seul mot qui te venait en tête. Cela faisaient des ults que tu n'arrivais pas à trouver à voler ou à te faire embaucher. C'est comme si la malchance te poursuivait !! Si tu essayais de voler, la personne s'en rendait compte et une troupe de chevaliers de la miséricorde rappliquait dans le coin. Si tu essayais de te faire embaucher comme garde, la personne acceptait puis rapidement revenait te voir en disant qu'elle n'avait plus besoin de toi. Te voilà alors au milieu de détritus de la bière à la main en train de maudire ton monde, quand une personne sort du brouillard et t'interpelle d'une voix posée : "Lo-Vaï-Nog, je te cherchais. Je suis le responsable de tes malheurs"

Tu bondis alors et enfonces ta lame dans son ventre. L'homme se met alors à rire : "Tu ne peux rien contre moi. Les armes que tu possèdes n'ont aucun effet sur moi. Et tout ceux qui se mettent à mon service peuvent un jour bénéficier du même atout. Je te propose de te joindre à l'omeenial de Eeka. Nous sommes un ordre secret de guerriers que l'on engage pour des missions à raison, disons, définitive. Nous travaillons sur contrat et tous nos contrats sont remplis. Même s'il faut que plusieurs d'entre nous y passe. Nous travaillons avec un sens de la hiérarchie très important et tout doit être fait avec discrétion mais efficacité. En échange, nous sommes riches et pouvons même nous permettre de brûler du bois lors de certaines de nos réunion!!! Qu'en penses-tu ?" Tu ne réfléchis pas longtemps pour comprendre que c'est ce qu'il te fallait.

"puisque tu acceptes : voilà ta mission pour savoir si tu es digne d'entrer définitivement dans notre omeenial. N'oublies jamais : efficacité et discrétion !! Tu te rends chez Poneel, maître de l'omeenial des aubergistes, tu te fais passer pour le fils de Razeel aubergiste dont l'auberge a été détruite avec les tenanciers. Tu viens demander vengeance.Voilà pour ta couverture. Ta mission est d'empêcher Poneel de trouver qui est derrière la destruction des auberges. Soit discret et efficace !!"


Sir yes sir.


Note : rechercher Gaafaaz . parler du contrôle de Blaesgarth au sceptre.