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De Oremen
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== Le retour vers le continent==
== Le retour vers le continent==


Il semble que même durant les longues années qui séparèrent la fuite sur Schruss et le retour vers le continent il y eut toujours une présence oremenienne proche des anciens pôles de civilisation.
Il y avait des oremeniens esclave ou bétail d'autres peuplades.
Il y avait aussi de petits villages d'oremenien repliés sur eux-mêmes, vivant dans la terreur.
Il y avait aussi des envoyés de Schruss.
Un groupe par exemple se faisait appeller les lyroar.
Chaque représentant de ce groupe au sein d'une pôche de résistance oremenienne se fait appeler Lyroar. Bien sûr ils sont en fait tous membres de l'ordre de Lyroar, envoyés sur le continent pour établir des têtes de ponts.
Peu à peu des oremeniens s'installèrent de nouveau sur le continent et commençèrent à redécouvrir les secrets de leur ancêtres.
Ils retrouvèrent les anciennes cités, les anciennes armes.
Car même si le mirjala avait détruit la grande majorité de ce qui était oremenien, beaucoup de choses étaient encore intact, sauvegardée des assauts des créatures non oremeniennes par des systèmes de défenses automatiques et inviolable, sauvegardé du temps par un entretien automatique via des serviteurs pour qui le temps n'est rien.


==Le réveil des Eezors==
==Le réveil des Eezors==

Version du 27 février 2006 à 22:06

L'Âge d'or

Au cours de ce que nous pouvons appeler l'âge d'or des oremeniens, le niveau technologique et le niveau de connaissance étaient élevés.

Dans la plupart des cités il y avait des croutchs (des gensres de métro). Il existaient de croutchs intercité, qui permettaient aux gens communs de ralier les espaces de civilisation.

Les avezors étaient reliés par des tundikas. Un réseau très dense de "télporteurs". Les gens de pouvoir possédaient des appreils de communication permettant d'entendre et de voir son interlocuteurs partout à la surface d'oremen.

La maîtrise des pouvoirs lié à l'attiack, au loobieck et à oremen étaient la clé de tout ceci.

Malheuresuement ce que nous savons de cette époque est très parcellaire. Beaucoup de choses ou été détruite durant le Mijala et ce n'est qu'avec difficulté que nous pourrons de nouveau atteindre ce niveau de technologie et de maîtrise des éléments.

Le Mirjala

L'origine du mirjala est enore mal connu. Mais il semble que Ult voulu rompre l'équilibre et faire en sorte que la race oremenienne soit l'unique race intelligente d'oremen.

Les autres créatures intelligentes s'allièrent et détruisirent la prétentieuse civilisation oremenienne.

Schruss

Lors du Mirjala, les ormeniens se réfugièrent (pour la minorité qui le pue) sur une île située au coeur de la beetlaloon. Cette île protégée et isolée par les brumes et les blaesgarth qui y rodent resta longtemps isolée du reste du monde.

Il se développa sur l'île la suite de la civilisation oremenienne. Une suite sans splendeur. Le niveau technologique régressa et l'île fut divisée en diverses provinces qui guerroyèrent pour agrandir leur espace vitale. En effet l'île devint rapidement une énorme cité où les maisons s'enchevêtrent.

Tout le monde (ou presque) oublia la présence du continent. Seul quelques personnes haut placée envoyèrent régulièrement des orememeniens sur le continenent (par divers moyens) pour y préparer le retour de la race oremenienne.

Le retour vers le continent

Il semble que même durant les longues années qui séparèrent la fuite sur Schruss et le retour vers le continent il y eut toujours une présence oremenienne proche des anciens pôles de civilisation.

Il y avait des oremeniens esclave ou bétail d'autres peuplades. Il y avait aussi de petits villages d'oremenien repliés sur eux-mêmes, vivant dans la terreur. Il y avait aussi des envoyés de Schruss.

Un groupe par exemple se faisait appeller les lyroar. Chaque représentant de ce groupe au sein d'une pôche de résistance oremenienne se fait appeler Lyroar. Bien sûr ils sont en fait tous membres de l'ordre de Lyroar, envoyés sur le continent pour établir des têtes de ponts.

Peu à peu des oremeniens s'installèrent de nouveau sur le continent et commençèrent à redécouvrir les secrets de leur ancêtres. Ils retrouvèrent les anciennes cités, les anciennes armes. Car même si le mirjala avait détruit la grande majorité de ce qui était oremenien, beaucoup de choses étaient encore intact, sauvegardée des assauts des créatures non oremeniennes par des systèmes de défenses automatiques et inviolable, sauvegardé du temps par un entretien automatique via des serviteurs pour qui le temps n'est rien.

Le réveil des Eezors

La découverte du sceptre impérial